L'année 2011 a fait éclore le meilleur de Novak
Djokovic, un joueur de tennis
toujours talentueux et combatif. Bien qu'il soit habitué à
déguster les restes de Nadal et
Federer, les deux grands dominants du circuit pendant la dernière
décennie, tout a changé la saison dernière.
Le joueur de Belgrade a mûri, il a aussi gagné en solidité et a tempéré ses nerfs avec la raquette de tennis. Cette nouvelle froideur interne, en pleine lutte contre son ardeur sanguine, lui a permit de contrôlertout son potentiel. Ainsi, « Nole » a assimilé des coups extraordinaires. Il a améliorer son service, ajusté sa droite et travaillé son revers.
À deux mains, selon les tendances modernes, Djokovic bombarde les pistes. Ce revers l'a catapulté jusqu'à la première place du tennis mondial. Le coup est lisse, profond et ouvert, et qui plus est, très proche des lignes de fond et latérales. Toujours décisif, souvent surhumain.
Précisément, grâce à cette tactique, il a apprit à dérouter le tennis de Rafa Nadal, qui a faibli dans sa défense droite et qui a eut beaucoup de problèmes avec les fantastiques retours croisés du joueur de tennis de Belgrade. Cela est arrivé à Wimbleddon, à l'US Open et dans une bonne poignée de tournoi « mineurs ». Dictature balkanique.
Son revers est un des plus transcendantales que l'on puisse se souvenir sur le circuit. Cela lui apporte une supériorité par rapport aux autres dont peu de joueurs peuvent présupposer. Ferrer est un autre grand joueur de revers bien qu'il soit peu moins précis que le serbe.
Autoritaire sur le retour et en constante évolution explicite sur son service, Djokovic s'est maintenu imbattable pendant la première moitié de la saison (43 victoires consécutives), en gagnant tout ce qu'il a joué, même l'Open d'Australie. Il a cédé à Paris, après un match agonisant contre Roger Federer qui a freiné sa course légendaire.
Mais de retour sur des superficies plus rapides, son revers a recommencé faire des ravages. Wimbleddon et l'Open des États-Unis ont augmenté son palmarès face à son même rival (Rafa Nadal). Le balkanique a atteint le sommet, il a provoqué l'admiration et a secoué les règles établis.
La mécanique de son revers, dans tous les cas, suppose un risque nécessairement élevé. Djokovic attend près de la ligne de fond et cette situation a changé sa détermination. Plus il est à l'intérieur de la piste, plus ses coups son profonds, même si son temps de réaction est plus long.
La difficulté est très grande et la concentration, maximum. Le revers à deux mains du serbe, exécuté avec cette puissance, profondeur et précision, est pratiquement inimitable et indéfendable. C'est, sans doute, une des armes les plus dévastatrices du tennis moderne.
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Laissez votre commentaire Coups de maîtres : le revers à deux mains de Djokovic
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